Alors alors alors... Il ne me restait donc plus que 4 planches à dessiner pour boucler le noir et blanc de ce Une nuit à Rome dernier du nom. Jusqu'à ce que mon scénariste imbécile (moi, donc) me souffle une petite idée totalement dispensable mais tellement simple, logique et surtout raccord avec l'ensemble, que je me retrouve avec 2 pages de plus pour la mettre en valeur. Donc... plus que 6 planches.
En réalité plus que 5 car entretemps j'ai avancé.
(Si vous arrivez à suivre, chapeau.)
hà, ça va être une enqûete difficile d'identifier ces deux pages? défie intéressant...
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