dimanche 25 mars 2018

Les amis, je l'ai reçu.

C'était vendredi. Par coursier, livré par l'imprimeur.
Il me fait bonne impression. Il a une bonne tenue, une belle épaisseur.
Pour être tout à fait franc, j'adorerai avoir un mois pour perfectionner des détails, des petites choses, rien ne nous apparait mieux qu'une fois le livre en main, mais ce n'est pas réellement possible, et si ce l'était, ce ne serait même pas réellement sage... :)
Ce tome 3 va vivre sa vie, et c'est notamment à travers vos retours que je pourrais juger de sa vie. J'espère vivement qu'il vous plaira. Si vous me suivez sur ce blog, c'est donc que les deux premiers ne vous ont pas déplus. Elle vient se nicher là, mais réelle inquiétude : faites que je ne vous déçoive pas...
Ce sera donc à vous de me dire, en attendant, je garde la tête plongée dans le tome 4...

Je vous embrasse. Hâte de vous lire...
Bien à vous,

Jim

mercredi 14 mars 2018

L'album est imprimé - Quelques photos

C'était le 13 mars, chez PPO.
Voici un petit résumé de la journée en photos.
Levé 5 H 15. Yann, le chef responsable du bon déroulement des opérations nous récupère (Delphine et moi) au métro Porte de la Chapelle à 6 H 30, pour nous emmener en voiture à Palaiseau, chez l'imprimeur PPO, qui a déjà imprimé les 2 premiers tomes... et toute la production Bamboo / Grand Angle.
On se voit à chaque impressions, c'est donc retrouver une vieille connaissance maintenant.

Démarrage de la journée, calage de la couverture de l'édition courante... Delphine, Yann et moi nous posons des questions sur ce qui est améliorable. La vraie difficulté est d'anticiper le regard qu'on aura en d'autres lieus, est-ce que ce qui nous parait bon ici sera bien en librairie, à la lumière du jour, à la lumière d'une lampe de chevet ?





Pour essayer de simuler le rendu final avec le vernis mat, un imprimeur imprime une page, et passe un tissu trempé dessus, puis pose un film qu'il essuie très vite. Ça nous donne à l'oeil une impression de ce que donnera la couverture au final. (Le film mat écrase un peu les couleurs et fait remonter le rouge).

Puis c'est au tour des premières pages, soit un feuillet de 48 pages recto verso d'un coup...



Les premiers stocks imprimés. La vitesse de défilement est énorme. Le tirage est de 25 000 pour l'édition courante et 1 500 du dos toilé. Autant dire, une sacrée masse de papier à l'arrivée. Il y a 6750 feuilles par palettes, si j'ai bien tout suivi.




Le tirage vu à l'extérieur, en lumière naturelle (ici tenu de mains de maitre par Yann.)


Après, c'est le calage des couvertures du dos toilé.




Un étrange panneaux avec moults indications, et dessous la version papier (sur papier offset) du cahier supplémentaire de l'édition dos toilé à tirage limité.



Un peu plus rouge, un peu plus de noir... Et quand ça nous semble bon, on valide...
Et retour dans le RER avec quelques bonnes feuilles...

Maintenant, il n'y a plus vraiment qu'une seule interrogation, en vérité : ne reste plus qu'à espérer que les lecteurs seront emballés par ce travail, qui mine de rien nous a occupé durant presque deux ans et demi !
Bonne journée à tous,
J


mercredi 7 mars 2018

Illustration en vente

Bonjour,

Voici une illustration de Marie, une des rares où elle prend la pose nue.
Format 53 X 40 cm sur papier 300 g.

lundi 5 mars 2018

Des nouvelles

Hello
La semaine prochaine, je vais l'impression d'Une nuit à Rome livre 3. Grand jour !
En attendant, je travaille au découpage et à l'écriture du tome 4. Ce week end, j'ai eu le plaisir d'être interviewé pour le magazine Casemate d'avril. Et je viens de répondre à une commande d'une Marie dans le fauteuil d'Emmanuelle, je vous montre ça ci-dessous.

Et du côté du Puzzle de Marie, la première moitié est vendue avant sa sortie, donc grand merci d'avoir répondu présent à cet objet décalé :)

C'était le point news du jour, je vous embrasse ! Et vivement le mois prochain... j'espère vraiment que ce tome 3 vous plaira... j'essaie de ne pas trop y penser, car c'est une pression... Quelle horreur, l'idée de décevoir...
Vous me direz ça, j'espère !
Bien à tous,

Jim